samedi 27 novembre 2010

Biodiversité et ingénierie écologique : contrainte ou opportunité ?

http://www.ens.fr/spip.php?article776

Deux conférences exceptionnelles du Professeur Robert J. Shiller

Le Professeur Robert J. Shiller, donnera deux conférences exceptionnelles à l'Université Paris-Dauphine les 6 et 7 décembre 2010.

La première conférence, grand public, s'intitulera
"Moralisation du Capitalisme Financier"
elle aura lieu le 6/12 à 16h en salle Raymond Aron.

La deuxième conférence, académique, s'intitulera
"World Financial Reform in the Wake of the Crisis"
elle aura lieu le 7/12 à 11h30.

Le nombre de places étant limité, il est indispensable de confirmer sa participation (en précisant bien la ou les dates de votre participation) à cecile.fondeur(AT)dauphine.fr.

Le Professeur Shiller recevra le Doctorat Honoris Causa de l'Université Paris-Dauphine au cours d'une cérémonie qui aura lieu le 7/12 à 16h en Salle Raymond Aron. Merci de contacter cecile.fondeur(AT)dauphine.fr si vous souhaitez également participer à cette cérémonie.

Robert J. Shiller est Professeur à Yale University et est notamment l'auteur de :
- Irrational Exuberance (Princeton, 2000),
- The New Financial Order: Risk in the 21st Century (Princeton, 2003),
- Subprime Solution: How the Global Financial Crisis Happened and What to Do about It (Princeton, 2008)
- et de Animal Spirits: How Human Psychology Drives the Economy and Why It Matters for Global Capitalism (Princeton, 2009)

conférence sur les enjeux climatiques urbains

Le lundi 29 novembre 2010 aura lieu une conférence en salle Dussane à l'ENS
sur les enjeux climatiques urbains à 18h.
http://www.ens.fr/spip.php?article781

Pour rappel, à 20h30 sera diffusé le film de Coline Serreau "Solutions locales pour un désordre global", suivie d’un débat en sa présence.

vendredi 26 novembre 2010

Facebook Facts for Social Media Marketing Strategy Development and Campaign Planning - Automotive Digital Marketing Professional Community


http://www.automotivedigitalmarketing.com/profiles/blogs/facebook-facts-for-social

Wikipédia

Wikipédia est un projet visant à construire une encyclopédie gratuite et librement réutilisable dans chaque langue existant dans le monde. Tout le monde peut y contribuer directement sur le site. Lancé en janvier 2001, d'abord en une seule langue (l'anglais), le projet comporte maintenant quatorze millions d'articles encyclopédiques en 270 langues ! Fin 2009, la version anglophone de Wikipédia est la plus grande en termes de taille avec plus de trois millions d'articles. Viennent ensuite les versions germanophone et francophone : la première a passé deux jours après Noël la barre du million d'articles, la seconde en compte déjà près de 900 000. Une trentaine d'autres versions de Wikipédia possèdent au moins 100 000 articles et, au total, plus de 175 versions comptent plus de 1 000 articles De nouvelles langues sont proposées et lancées tous les mois.
Avec 340 millions de personnes qui le consultent chaque mois, Wikipé- dia est le cinquième site web le plus visité au monde. En novembre, les Webby Awards classent la création de Wikipédia en 2001 comme l'un des « moments les plus importants de la vie du Web pendant la dernière décennie ». En France, Wikipédia est le neuvième site le plus visité avec quinze millions de visiteurs uniques, soit un inter- naute sur deux au mois de septembre selon l'institut Médiamétrie. Selon une étude du wikimédien néerlandais Erik Zachte portant sur le deuxième semestre 2009 (juillet à décembre), les Français consultent 397 millions de pages sur Wikipédia par mois. Avec 3,6 % du trafic global, nous sommes ainsi la 5e population du monde à consulter le plus Wikipédia et nous nous tournons essentiellement vers la version en français (79 %) puis la version en anglais (13,5 %). 71 % de l'audience de la Wikipédia francophone est composée d'internautes français ; ce taux tombe à 20 % sur la Wikipédia en breton.

jeudi 25 novembre 2010

Auroville, un aller simple ?

A l'occasion du 42ème anniversaire d'Auroville, Bouquineo.fr vous invite à découvrir
Auroville, un aller simple ?
Par Jean Larroquette
« Il devrait y avoir quelque part sur la terre un lieu dont aucune nation n'aurait le droit de dire : « il est à moi » un lieu ou... »
C'est vers ce lieu que nous nous sommes embarqués, ma femme et nos deux jeunes enfants dans le début des années 70. Auroville avait été inaugurée le 28 février 1968 et quelques femmes et hommes de bonne volonté avaient répondu à l'appel de cette aventure hors du commun. Venus du monde entier vers cette terre rouge du sud de l'Inde, ils avaient commencé à sauver ce désert et à essayer de jeter les premières bases d'une société utopique où « les relations entre êtres humains, qui sont d'ordinaire presque exclusivement basées sur la concurrence et la lutte, seraient remplacées par des relations d'émulation pour bien faire, de collaboration et de réelle fraternité. » Nous avons avec eux chercher à faire de ce rêve une réalité. Plus de trente ans sont passés, le désert est devenu forêts, la ville imaginée commence à sortir de terre, les êtres humains qui l'habitent vivent ensemble du mieux qu'ils peuvent.
C'est ce parcours difficile et heureux que raconte ce livre. Jean Larroquette
Cliquez ici pour accéder au livre sur Bouquineo.fr






La notion de « dérive sectaire » : quelle(s) implication(s) pour la régulation du « phénomène sectaire » ?


http://champpenal.revues.org/7535#tocto1n1

La notion de « dérive sectaire » : quelle(s) implication(s) pour la régulation du « phénomène sectaire » ?









«Les stars, figures de la postmodernité ?»

Ceaq SorbonneNovember 25, 2010 at 10:11am
Objet : "Les stars", mardi 30 novembre, 19h, Fondation d'Entreprise Ricard, Paris.
Le mardi 30 novembre 2010 à 19h - Entrée libre
Chères amies et chers amis,

nous vous invitons à la prochaine "Invitations à l'Imaginaire":

«Les stars, figures de la postmodernité ?»

"Extraordinaire et banale, underground et luxueuse, heureuse et désespérée, la star d'aujourd'hui est une figure complexe, qui suscite diverses formes d'adoration collective. Dans une époque où le sacré s'enfuit des églises qui l'ont contenu pendant la modernité, la mode, le spectacle et la consommation sont les lieux privilégiés d'apparition de ces nouvelles divinités terrestres.

"Quelle est leur langue ? Que contient leur corps lisse ? De quoi est constituée leur aura ? Kate Moss est-elle la figure emblématique de la star postmoderne ?"

Telles seront les questions qu'aborderont, lors de la prochaine Invitation à l'imaginaire, Michel Maffesoli et ses invités : Christian Salmon, chercheur au CNRS, auteur de Kate Moss Machine (Edition La Découverte, 2009), Benjamin Dard, journaliste économique, Nicolas Truong, journaliste au Monde Education et Vincenzo Susca, maitre de conférence à l'Université Paul-Valéry Montpellier III et chercheur au Ceaq.

Venez!

Les Cahiers Européens de l'Imaginaire, Fondation d'Entreprise Ricard, Centre d'étude sur l'Actuel et le Quotidien.

Mardi 30 novembre 2010 à 19h - entrée libre
Fondation d'Entreprise Ricard
12 rue boissy d'anglas
75008 Paris
Métro: Concorde ou Madeleine

http://www.facebook.com/l/deede2Srgo85qPd8-IeSnR9rAdw;www.fondation-entreprise-ricard.com/conferences/rendez-vous/future/








mardi 23 novembre 2010

Ensemble, construisons une nouvelle société !

Gregory David
Gregory DavidNovember 23, 2010 at 7:24pm
Objet : Il est temps d'agir ensemble
Ensemble, construisons une nouvelle société !
Objectif : 3000 colibris d'ici le 31 décembre pour lancer le projet "Transformons nos territoires"

Découvrez le projet ici :http://www.facebook.com/l/6caaaOoJRgkSgpVSmtSRGGWGCCQ;www.comcolibris.net/UPLOAD/newsletter/187.php

Depuis trois ans, nous sommes chaque jour plus nombreux à agir, à nous relier, à porter des projets, à inventer…
Nous savons que notre modèle de société est à bout de souffle et que, plus que jamais, nous devons mettre en commun toute notre créativité et nos moyens pour construire un autre futur : écologique, profondément humain, sobre et heureux. 

Nous avons créé Colibris il y a trois ans, car nous croyons que nous pouvons tous participer à cette construction.

Aujourd'hui nous vous proposons de rejoindre ces milliers de Colibris qui font leur part et de concrétiser avec nous cette intention.

En 2010, le film de Coline Serreau que nous avons co-produit nous a permis d'engager le travail sur le terrain avec près de 90 animations qui ont permis l'éclosion de 30 projets sur le thème de l'autonomie alimentaire et de l'agroécologie.

En 2011 nous lançons le projet "Transformons nos territoires" dont l'objectif est de valoriser les démarches les plus remarquables menées par des groupes, des villes, des régions et d'impulser la création d'initiatives partout en France, qui s'inspirent de ces réalisations.

En 2012, nous rendrons visible ce que pourrait être un véritable projet de société respectueux de l'humain et de la nature, et les moyens de commencer à le construire, dès aujourd'hui, sur nos territoires.

Il est temps d'élaborer une vision positive, concrète et réaliste de ce que pourrait être le futur. Nous ne pouvons nous contenter de dresser un constat, il est aujourd'hui nécessaire de tracer des voies vers d'autres modèles, de dessiner un projet crédible auquel chacun peut participer.

Pour que tout ceci devienne possible, nous avons besoin de votre soutien. Nous souhaitons réunir 3000 d'entre vous, qui donnent 5 euros par mois ou plus, d'ici au 31 décembre. Nous aurons ainsi les moyens de mener cette action à vos côtés.

Pour cela, rendez-vous sur le sitehttp://www.facebook.com/l/6caaa3kEWcwqtWY3Ja6z9o9JPCQ;www.devenezuncolibri.org

Avec toute notre gratitude et notre détermination,

Pierre, Cyril, Jean, Isabelle, Alain, Gregory, Marianne, Nelly et toute l'équipe de Colibris








VeT - PADE - Paris - jeudi 9 novembre 2010

«Villes en Transition»

Pourquoi un Plan d'Action

de Descente Énergétique ?


Après une phase de sensibilisation soutenue par le lancement de quelques projets emblématiques, chaque territoire en transition est supposée rédiger un "Plan d'Action de Descente Énergétique" (PADE), c'est-à-dire un programme de reconstruction de la résilience locale, le plus souvent à l'échelle communale, dont les mesures proposées doivent aider la population locale à drastiquement diminuer leur dépendance au pétrole et leurs émissions de gaz à effet de serre à l'horizon 2030. La population est d'abord invitée à imaginer la vie qu'elle espère en 2030, localement et presque sans pétrole, et ensuite à imaginer les étapes à suivre pour concrétiser cet objectif.

La première "Ville en transition", Totnes, au sud-ouest de l'Angleterre, a publié au printemps 2010 son propre Plan d'action de descente énergétique. Comme ce plan a-t-il été collectivement rédigé ? Comment la population y a-t-elle été associée ? Quelles relocalisations y sont envisagées ? Comment se partagent les rôles entre institutions et habitants ? Que peut-on y gagner ? À quoi faut-il renoncer ? Et (surtout) comment nous, à Paris et en Ile-de-France, pouvons-nous nous en inspirer pour imaginer et construire notre vie après le pétrole ?

Conférence-débat avec
Mathilde Szuba et Luc Semal
doctorants en sociologie, ils suivent depuis 4 ans le mouvement des Villes en Transition

Jeudi 09 décembre 2010 à 19h00
à la Maison des Associations du 12e

181 avenue Daumesnil, Paris 12e (Métro: Daumesnil)

Le réseau des villes en transition est un mouvement citoyen im­pliquant les populations locales et visant à assurer la résilience (capacité à encaisser les crises économiques et/ou écologiques) du territoire face au double défi que représentent le pic pétrolier et le dérèglement climatique. A partir de l’initiative créée en 2005 dans la ville de Totnes (UK), plus de 300 initiatives officielles se sont lancées aujourd’hui dans le monde entier.
http://www.transitionnetwork.org/

En France, le mouvement des Villes en Transition est de plus en plus connu – une vingtaine de groupes sont en train de se créer actuelle­ment, dont au moins quatre en région IdF.
http://www.transitionfrance.fr/

+ + + On peut amener de quoi partager une petite convivialo-collation... + + +

Fwd: Festival international du film d'Environnement




Objet : Festival international du film d'Environnement

Bonjour à tous,

Le Conseil régional d'île de France organise au cinéma La Pagode (Paris 7e) le 28e festival international du film d'Environnement, du 24 au 30 Novembre.

Entrée gratuite. 138 films venus de 38 pays différents : films, débats& projections, fictions, films pour enfants (''éco-bambins'' le dimanche 28)

www.festivalenvironnement.com


Mercredi 8 décembre 2010 Osons un désir d’humanité !

Nous avons le plaisir de vous présenter la 2ème Soirée des Amis du Club de Budapest France, dans le cycle: 

 Le temps des mutations, imaginons le monde de demain

 

 Mercredi 8 décembre 2010

Osons un désir d'humanité !

 

19 h30 – 22h00

Forum 104 – 104, rue de Vaugirard, 75006 Paris

Métro Montparnasse ou Saint Placide. 

Contribution aux frais : 10 €

Accueil dès 19h00

 
 

Le Club de Budapest France prolonge la réflexion sur les transformations sociétales et culturelles de notre temps avec un cycle consacré aux mutations que nous vivons.

 

« C'est l'imagination qui étend pour nous la mesure des possibles, et nourrit les désirs par l'espoir de les satisfaire. » Jean-Jacques Rousseau

 

Dans un monde à inventer, comment déployer nos imaginaires, comment nourrir notre vision ? Les évolutions socioculturelles sont le résultat de nos propres représentations. Inventer le monde de demain, c'est prendre conscience de ce qui a de la valeur pour nous, de ce qui nous est essentiel.

 

Quels sont les fondamentaux et les systèmes de valeurs qui influent sur notre monde en mutation ? Comment se manifestent les émergences culturelles ? Quelles sont les valeurs qui comptent pour nous ?

 

Cette soirée sera un temps pour l'inspiration, la réflexion et le partage avec :

 

Patrick VIVERET"Face à la peur et à l'impuissance osons un désir d'humanité !".

 

Ancien conseiller référendaire à la Cour des Comptes, il est à présent consultant en imaginaire. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dontComment vivre en temps de crise ? (avec Edgar Morin, Fayard 2010), Pour un nouvel imaginaire politique (collectif, Fayard 2006),  Pourquoi ça ne va pas plus mal (Fayard, 2005), Reconsidérer la Richesse (Edit.de l'Aube, 2010) suite à la mission auprès du secrétaire d'Etat à l'Économie solidaire (2001-2004). Il est à l'origine du Projet SOL, un système de monnaie complémentaire et le co-fondateur des rencontres internationales « Dialogues en Humanité ». Il est également animateur de l'association L'observatoire de la décision publique et membre du Pacte Civique.

 

Patrick partagera ses dernières réflexions sur la mutation de notre monde et le rôle de l'imaginaire.

 

Youri AZIOS-MANOFF : une voix singulière.

 

Auteur compositeur interprète, Youri est né en France de père russe et de mère française. Avec son ensemble tzigane, il parcourt le monde et chante dans les plus belles soirées de prestige.

 

Youri s'accompagnera à la guitare pour partager trois chants de son répertoire qui nous parleront avec force et délicatesse de vies et de destins qui feront écho à nos rêves de poésie, de générosité et de fraternité.

 
 

Carine DARTIGUEPEYROU : présidente du Club de Budapest France, polyglotte, docteur en sciences politiques et prospectivistewww.carinedartiguepeyrou.com. Elle a dirigé le livre collectif Prospective d'un monde en mutation (L'harmattan, 2010). Elle est également le co-auteur d'ouvrage de prospective et de management dont Réenchanter le futur par la prospective RH (Village Mondial, 2009)Le DRH du 3ème millénaire (Village Mondial, 2008)Le Dirigeant du 3ème Millénaire (Editions d'Organisation, 2006).

 

Carine éclairera pour nous les grandes évolutions socioculturelles et les émergences culturelles. Elle animera également une séance d'interactivité pour nous faire travailler sur le monde à inventer et les valeurs qui font sens pour nous.

 

Cette soirée a été conçue par Carine Dartiguepeyrou avec l'aide de Patrick Viveret pour le tire. Elle sera animée par Caroline Guidetti.

 

AGENDA

 

17 novembre : La prochaine journée de l'Université intégrale sera consacrée à la Santé.

19 février 2011 : Université Intégrale L'Entreprise intégrale et l'économie

23 mars 2011 : prochaine soirée des Amis

« Le temps des mutations, imaginons le monde de demain » autour de Pierre Musso, sociologue des réseaux et initiateur de la Chaire de la modélisation des imaginaires (Institut Télécom).

Nous vous informons également que les Assises du Pacte Civique auxquelles le Club de Budapest participe auront lieu les 14 et 15 mai 2011 à Issy Les Moulineaux,

et enfin 6 juin 2011 , Université Intégrale : la Société et la politique intégrales.

Tous ces événements ont lieu au Forum 104, 104 rue de Vaugirard  Paris 75006.

 

Chaleureusement, 

Club de Budapest France           

contact@clubdebudapest.org 

http://clubdebudapest.org

Si vous ne souhaitez plus recevoir nos actualités, merci de nous envoyer un mail avec la mention "désinscription".


-- 
Club de Budapest France
contact@clubdebudapest.org
http://clubdebudapest.org

vendredi 19 novembre 2010

Carine Dartiguepeyrou nous a éblouis lors de son passage aux Cahiers de l'imaginaire.


http://www.cahiersdelimaginaire.com/entretiens_carine_dartiguepeyrou.html


Vive, intelligente, perspicace, 
Carine Dartiguepeyrou nous a éblouis lors 
de son passage aux Cahiers de l'imaginaire.

Avec elle, nous nous sommes élevés 
— à vol d'oiseau — pour observer notre monde.

C'est une chance exceptionnelle de partager 
un moment d'échange avec un chercheur 
qui étudie au plus près l'évolution de nos sociétés.

Surtout pour nous — le cercle d'amis 
des Cahiers de l'imaginaire 
qui souhaitons nous projeter 
dans un avenir souhaitable.

Avant d'inventer des mondes, il est essentiel 
de revisiter le passé, de s'ancrer dans le réel 
et de détecter les signaux faibles 
de ce monde en mutation.

Ainsi, nous serons mieux « armés » 
pour apporter notre petite contribution.

L'addition des regards et des intelligences,
nous apporte des forces insoupçonnées. 
Merci à Carine pour cette visite à Dinard. 
Merci aux Amis qui ont participé
à cette soirée avec une si belle intelligence.




Mardi de 4D 23 novembre 2010 : Pour en finir avec la pauvreté

http://www.association4d.org/article.php3?id_article=664

PROCHAIN Mardi de 4D, le 23 novembre, à la mairie du 10e arrondissement, à 17h30

Pour en finir avec la pauvreté :
quel nouveau modèle de développement ?


Pour télécharger l’invitation, cliquez ici.
Pour télécharger le texte d’introduction, cliquez ici.
Avec

Michel Faucon, ancien délégué général du CRID.

Nathalie Péré-Marzano, déléguée générale du CRID.

Dominique Olivier, secrétaire confédéral au développement durable, CFDT.
Autre intervenant sous réserve.

Animation : Jean-Luc Redaud, membre de l’Association 4D.


Date et lieu

Mardi 23 novembre 2010

17h30 à la Salle des Mariages de la Mairie du 10ème arrondissement

72, rue du Fbg. Saint-Martin, 75 010 Paris. M° Gare de l’Est


Inscription

Entrée libre et gratuite

Merci de confirmer par mail : adebouci[a]association4d.org

jeudi 18 novembre 2010

Fwd: 1e séance séminaire "Corps et Technologies" (EHESS, 25 nov 2010)


Objet : 1e séance séminaire "Corps et Technologies" (EHESS, 25 nov 2010)

==== Désolés pour les envois croisés / Prière de faire circuler le
plus amplement possible ====

Bonjour

La première séance du séminaire

« Corps et Technologies de l'Information et de la Communication :
approches socio-anthropologiques des usages numériques »

animé par Antonio Casilli (EHESS, IIAC, équipe du Centre Edgar-Morin) aura
lieu jeudi 25 novembre 2010 de 17h à 19h, en salle 5, au 105 bd Raspail
75006 Paris.

Les séances à venir auront lieu les 2e et 4e jeudis du mois (17h, salle 5,
sauf  la séance du 10 février, reportée au 11 février, même heure, salle
2).

Veuillez trouver ci-dessous l'argumentaire du séminaire et le détail des
séances.

*
*   *

L'essor des usages informatiques de masse a coïncidé avec le télescopage
de deux plans – l'un physique, l'autre informationnel – de l'expérience
humaine. Tout en s'inscrivant dans une continuité entre les objets
techniques et la corporéité même de l'usager, les TIC véhiculent des
représentations sociales qui semblent mettre entre parenthèse la
sensualité et la matérialité des corps. Cet enseignement a pour objet une
exploration synchronique et diachronique des pratiques et des recherches
portant sur le corps dans les contextes d'interaction assistée par
ordinateur. Il s'agira de tenter d'éclairer les logiques sous-tendant les
différentes dimensions de ces technologies (de la e-santé à la
construction d'avatars dans les jeux vidéo, de la mise en scène de soi
dans les réseaux sociaux aux hybridations "cyborg" d'organismes et de
machines) aussi bien que de s'intéresser aux contextes institutionnels et
aux régimes de production des savoirs qui conditionnent ces faits sociaux.


  * 25 novembre 2010 (17h, salle 5) : Virus
  * 9 décembre 2010 (17h, salle 5) : Cyborg
  * 13 janvier 2011 (17h, salle 5) : Avatar
  * 27 janvier 2011 (17h, salle 5) : eSanté
  * 11 février 2011 (17h, salle 2) : Réseaux
  * 24 février 2011 (17h, salle 5) : Jouissance

--------------
Page web : http://www.ehess.fr/fr/enseignement/enseignements/2010/ue/124/
Page Facebook : http://www.facebook.com/event.php?eid=167047909985177
Blog :  http://www.bodyspacesociety.eu

Chantiers Politiques - Crises et catastrophes. Nouvelles perspectives, nouveaux défis


http://www.chantiers-politiques.com/Crises_et_catastrophes._Nouvelles_perspectives,_nouveaux_defis-9-sommaire.html

Cécile Ondoa Abeng 

Disons le d'emblée : l'année 2009 et les premiers mois de l'année 2010 auront été moroses.

La crise économique, le tremblement de terre à Haïti, l'échec du sommet de Copenhague en lequel tant de personnes voyaient la possibilité d'apporter une réponse concrète au défi du changement climatique ; tous ces évènements sont venus rappeler la vulnérabilité de nos sociétés et de nos modes de gouvernance.

Outre les conséquences dramatiques qu'ils ont entraînées – pensons aux 220 000 victimes du tremblement de terre à Haïti –, ces évènements semblent avoir profondément remis en cause le politique, compris comme instance première de régulation des sociétés sous leurs divers aspects. La crise économique résonne comme la conséquence de l'incapacité des gouvernants à réguler une sphère financière qui prend une importance croissante, au détriment de l'économie réelle. Le tremblement de terre survenu à Haïti révèle les lacunes d'une gouvernance mondiale inapte à prévenir les risques auxquels sont confrontés les sociétés et les territoires les plus vulnérables. L'échec – évident, quoi qu'on en dise – du sommet de Copenhague semble être le révélateur du refus des gouvernements de prendre la mesure de la problématique environnementale, et de s'engager sur une voie nouvelle, conciliant les impératifs du progrès économique et social et la préservation des ressources naturelles. La liste pourrait être allongée.

Aujourd'hui déjà, de nombreux théoriciens du politique insistent sur le recul – volontaire à certains égards – et la reconfiguration des modes traditionnels de l'action publique, dépassés par la sphère économique ; par la multiplication et la dispersion – à l'heure de la mondialisation – des réseaux et des centres de décision et d'action ; par l'affirmation, dans de nombreux cas, d'une société civile soucieuse de s'organiser par elle-même et d'apporter une contre-expertise indépendante des dispositifs techniques institutionnels. L'emphase médiatique suscitée par les crises survenues récemment ne serait-elle donc que le reflet d'une crise plus profonde, celle du politique, incapable, face à la complexité croissante des sociétés, d'apporter une réponse cohérente aux nombreux défis du XXIe siècle ? Ou bien cette emphase est-elle justement l'occasion, pour les gouvernants, de se voir relégitimés, en (re)trouvant, dans la gestion des crises et catastrophes, matière à action ?

Paradoxalement, alors même que ces diverses crises et catastrophes viennent ébranler nos modes de gouvernance, nous vivons actuellement dans des sociétés – occidentales en tout cas – où la place accordée à la prévention du risque n'a jamais été aussi importante, où la « démocratie technique », comme ensemble de dispositifs destinés à gérer les incertitudes n'a jamais paru aussi triomphante. En ce sens, certains parlent de nos jours d'une véritable « société du risque », qui a trouvé son aboutissement avec l'inscription dans la Constitution française, en 2005, du « principe de précaution ».

Dès lors comment interpréter ce paradoxe, et comment y répondre ? Comment penser aujourd'hui l'articulation entre d'une part des sociétés et un environnement – au sens géologique du terme – de plus en plus complexes; d'autre part les dispositifs techniques mis en place en nombre croissant pour répondre à cette complexité mais qui montrent parfois leurs limites ; et enfin une sphère politique dont il s'agit de repenser les modes d'action et de régulation ? Quelles perspectives, quels défis pour l'avenir ?

En consacrant ce huitième numéro au thème des « crises et catastrophes », c'est à ces interrogations que Chantiers Politiques, toujours soucieuse de saisir les phénomènes politiques en cours de construction, a souhaité répondre, en mettant en lumière les nouvelles perspectives et les nouveaux défis suscités par cette problématique.

Nouvelles perspectives tout d'abord. Les trois premières contributions de ce numéro cherchent ainsi à préciser les distinctions conceptuelles entre les notions de crise et de catastrophe, souvent perçues comme interchangeables, mais qui déterminent en fait des modes différents d'action publique, et mobilisent des répertoires discursifs particuliers. Comme le rappelle Félix Blanc («Rhétoriques de crise, crises de notre temps ? Quelques usages du concept de crise de Thomas Paine à Barack Obama »), de telles précisions conceptuelles sont nécessaires, afin, face aux crises et catastrophes, « de maintenir une position critique seule à même d'en conjurer la fascination ».

Nouveaux défis ensuite. Car face à la remise en cause de nos modes de gouvernance, qui ont montré leurs limites dans la gestion des crises et des catastrophes, n'est-il pas nécessaire que ces modes soient repensés ? C'est sur une telle piste de réflexion que s'engagent Emmanuelle Fillion et Julien Gardaix. Dans leurs contributions, s'exprime l'idée que la «gouvernance des risques » gagnerait en efficacité et  en légitimité si la « société civile » s'y trouvait davantage associée. En effet, comme le souligne Emmanuelle Fillion à travers l'exemple de l'affaire du sang contaminé en France, les acteurs sociaux peuvent être à l'origine, face à une crise grave, d'un important travail critique donnant lieu à une profonde « reconfiguration sociale ».

La multiplication récente de crises diverses suscite également des défis en termes de gestion des territoires. L'article de Lila Lakehal vient ainsi rappeler que cette gestion des territoires opère dans le cadre d'intérêts divers, notamment économiques, qui tendent à minimiser les risques géographiques, en l'occurrence le risque d'inondation. Il devient alors important de repenser l'articulation de ces enjeux multiples, afin que les stratégies de développement économique, dans le cadre de la mise en concurrence des métropoles mondiales, ne s'opèrent pas au détriment de la sécurité des citoyens. Dans une autre perspective, c'est bien la question de la vulnérabilité des territoires que pose l'article de Jason Warner et Anthony Berryhill, à travers une mise en perspective des conséquences de l'ouragan Katrina à la Nouvelle-Orléans, et de celles du séisme survenu récemment à Haïti. Rédigé en anglais (une première pour Chantiers Politiques !) cet article souhaite mettre en avant, à travers la notion de « catastrophes-in-development», que la vulnérabilité géographique n'est souvent que le catalyseur de la vulnérabilité et de la marginalité sociales. En ce sens cet article lance un véritable défi à la gouvernance des crises et catastrophes à l'échelle mondiale : il s'agit de poser de nouveaux jalons pour une gouvernance mondiale qui agirait moins en aval, dans l'urgence, et plus en amont, c'est-à-dire sur les causes structurelles qui rendent les populations les plus marginalisées si vulnérables aux catastrophes naturelles.

Quant aux deux entretiens menés pour ce numéro, ils se proposent de revenir sur deux crises majeures, l'une d'une actualité encore brûlante, à savoir la crise économique, dont les économies mondiales ne sont pas encore sorties ; et l'autre tendant à se faire oublier, à savoir la crise alimentaire. L'économiste Michel Aglietta a en effet accepté d'éclairer pour Chantiers Politiques les mécanismes de la crise économique actuelle, qui trouve son origine dans l'endettement excessif des ménages américains, à travers le mécanisme des prêts subprimes, jusqu'à l'éclatement de la bulle immobilière. En ce sens les propos de M. Aglietta font signe vers une plus grande régulation de la sphère financière, de manière à contenir la spirale d'endettement dans laquelle sont entraînées les économies mondiales. Car comme il le rappelle, « la crise que nous traversons n'est pas une crise conjoncturelle [. . .] elle révèle les dysfonctionnements d'un régime de croissance». Les analyses proposées par Sylvie Brunel sur la faim dans le monde, nous rappellent pour leur part que la sécurité alimentaire pour tous reste un enjeu majeur du XXIe siècle, en même temps qu'un défi surmontable, dès lors que l'on se donne les moyens de répartir équitablement des disponibilités alimentaires qui, théoriquement, devraient suffire à nourrir l'ensemble de la population mondiale.

Ce huitième numéro de Chantiers Politiques est également l'occasion de mettre en place une nouvelle rubrique, à savoir des « notes de lecture », ici consacrées à l'ouvrage récemment réédité (octobre 2009) de Michel Dobry, Sociologie des crises politiques. Bien que formulée pour la première fois en 1986,  sa théorie des « conjonctures fluides » comme « dynamique de mobilisations multisectorielles » reste en effet tout à fait pertinente pour étudier les processus de transformation politique.

Nous terminons ce numéro avec deux contributions critiques. La première, à travers un retour historique sur la gestion des crises et catastrophes sanitaires mondiales par l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé), ouvre des perspectives de réforme pour cette institution, dont le mode de fonctionnement a été profondément remis en cause suite à sa gestion de la grippe H1N1. La seconde, en rapprochant les crises économique et climatique comme révélatrices toutes deux de sociétés où la vision à court terme l'a emporté sur la capacité des acteurs à se projeter dans l'avenir, cherche à répondre à une question déjà en filigrane de la contribution inaugurale de ce numéro (voir Constance von Briskorn, «Penser la catastrophe. Nouveau plaidoyer pour un catastrophisme éclairé ») : « Faut-il attendre la catastrophe pour agir ? »

Au final, en axant ce numéro autour de la thématique des crises et catastrophes, Chantiers Politiques a voulu en éclairer les enjeux les plus saillants, tout en se refusant à placer cette réflexion sous le signe d'un catastrophisme réducteur. Car ce sur quoi nous voulons insister, c'est non pas sur la nouveauté d'évènements qui sont finalement venus nous rappeler à notre fragilité (confirmée, à l'heure où nous bouclons ce numéro, par la crise aérienne provoquée par l'éruption du volcan Eyjafjöll en Islande), mais sur les nouvelles pistes de réflexion et d'action à tracer pour envisager, sereinement, l'avenir. Les diverses contributions de ce numéro le rappellent : ces pistes sont nombreuses. Le défaitisme, même éclairé, est à exclure.









PROJECTION DE "SOLUTIONS LOCALES POUR UN DESORDRE GLOBAL", EN PRESENCE DE LA REALISATRICE COLINE SERREAU

PROJECTION DE "SOLUTIONS LOCALES POUR UN DESORDRE GLOBAL", EN PRESENCE DE LA REALISATRICE COLINE SERREAU
A l'occasion de la parution de son dernier numéro, "Crises et catastrophes. Nouvelles perspectives, nouveaux défis", Chantiers Politiques vous invite à la projection du documentaire de Coline Serreau, "Solutions locales pour un désordre global" (2010).
La projection sera suivie d'un débat avec la réalisatrice !

 

La soirée aura lieu le lundi 29 novembre 2010 à partir de 20h30 à l'Ecole Normale Supérieure (45 rue d'Ulm, 75005), en salle Dussane.

 

Nous vous attendons nombreux!

Fwd: article revue Normale Sup / Peut-on croire à l'innovation sociale ?


Objet : article revue Normale Sup.

Monsieur Saloff-Coste,

Je me permets de vous contacter sur les conseils de Thomas Schamasch.

Je suis en effet vice-présidente d'une revue de sciences humaines et
sociales de l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm (Paris), dont le
thème annuel est: "Peut-on croire à l'innovation sociale?".

Thomas m'a suggéré de vous envoyer l'appel à contributions pour que vous
le transmettiez aux personnes possiblement intéressées. Je me permets donc
de vous le transmettre en pièce jointe. Il est également disponible sur le
site de Calenda: http://calenda.revues.org/nouvelle17791.html

Cet appel est volontairement provocant pour ouvrir le débat. Mais nous
sommes ouverts à toute proposition et n'avons pas de parti-pris
idéologique initial.


Céline Ménard, pour l'équipe de Chantiers Politiques,
http://www.chantiers-politiques.com/




Peut-on croire à l'innovation sociale ?
Revue Chantiers politiques n°9
Can We Believe in Social Innovation?
Chantiers politiques journal no.9
RÉSUMÉ
Politiques et journalistes, experts et spécialistes n'ont que ce mot à la bouche : l'innovation. Et il est de plus en plus fréquent qu'on lui accole l'adjectif social. Certains affirment que pour sortir de la crise, ce n'est plus sur les innovations technologiques, scientifiques ou même économiques que nous devons compter, mais sur l'innovation sociale. Pourtant, malgré l'engouement qu'elle cristallise, l'innovation sociale reste un concept au périmètre bien flou. Le prochain numéro de Chantiers politiques se propose d'essayer de mieux le cerner, de l'analyser sous des perspectives aussi bien optimistes que critiques, et de se demander si ce concept permet vraiment de jeter un nouvel éclairage sur les problèmes auxquels est confrontée notre société au sortir de la crise.
ANNONCE
L'innovation sociale est en vogue depuis quelques années déjà. Elle a d'abord conquis le domaine associatif : la création en 2001 des AMAP (Associations pour le maintien d'une agriculture paysanne), ou des SCIC (Sociétés coopératives d'intérêt collectif) en sont des exemples. Mais, à présent, elle suscite également l'intérêt de nos politiques, de droite comme de gauche : création par Barack Obama d'un Office of Social Innovation and Civic Participation, forum international de l'OCDE sur le sujet, encouragements de la part de la Commission européenne, succès de Think Public, l'agence londonienne de conception des services publics. La France a décidé de ne pas être en reste : nous sommes actuellement en plein "mois de l'Économie Sociale et Solidaire", avatar français de l'innovation sociale. Autrement dit, l'innovation sociale fait l'objet d'une certaine institutionnalisation; le politique s'en empare et la met au cœur d'un discours lénifiant qui la présente comme une porte de sortie en période de crise.
Est-ce là une façon de se dédouaner à bon compte et de rejeter sur d'autres, par exemple sur les associations, des missions que l'État ne peut plus (ou ne veut plus) assurer ? Comment situer l'intérêt des entreprises pour cette question : simple stratégie de marketing ou bien conscience de leur responsabilité sociale et de leur rôle novateur ? L'innovation sociale constitue-t-elle un réel progrès tant sur le plan théorique que sur le plan de l'action sociale effective ? Par ailleurs, n'y a-t-il pas un paradoxe à parler d'innovation lorsqu'on milite pour le "maintien d'une agriculture paysanne" ? L'innovation sociale est-elle en réalité un retour vers la tradition ? Comment la situer par rapport aux autres types d'innovation (technologique, scientifique, économique...) ?Le futur numéro de Chantiers politiques a pour ambition d'éclairer ces questions afin de mieux cerner et de mieux comprendre un concept à la mode, mais dont la signification reste obscure pour beaucoup d'entre nous.
Pour participer à ce numéro, merci d'envoyer vos premières propositions et projets de contributions à Cécile Petitgand (petitgan@clipper.ens.fr)
avant le 27 novembre 2010.
Les auteurs des propositions retenues par le comité de rédaction de Chantiers politiques seront ensuite invités à soumettre une version complète de leur article pour le 31 décembre 2010.
Créée en 2002 par des étudiants de l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm, Chantiers politiques est une revue généraliste de réflexion en sciences humaines et sociales. Elle a pour objectif d'éclairer les grands débats politiques actuels à la lumière des problématiques de la recherche en sciences humaines et sociales. Privilégiant une approche pluridisciplinaire, et reposant principalement sur des articles et des entretiens, elle donne la parole à la fois à des chercheurs et à des étudiants, ainsi qu'à des spécialistes des questions abordées. Chantiers politiques est une revue qui vise l'accessibilité à un large public, de manière à promouvoir une approche dynamique de la recherche en sciences humaines et sociales. Elle est particulièrement diffusée dans les librairies parisiennes spécialisées et auprès du public étudiant et universitaire.